Le décor est fixé. Nous sommes au 1741. Le quai des bateliers est animé mais c’est une musique qui attire notre attention, celles des instruments de cuisine. Car derrière la vitre, on s’active. Le chef n’est pas encore là, mais une partition se joue. Épices, vapeurs, saveurs se rajoutent au concerto baroque qui se joue ici. L’harmonie se fait. Thierry Schwartz arrive. Nous…
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